MONT DE MARSAN – FERIA DE LA MADELEINE

 

     Si  l’on se rapporte aux reseñas, la feria est terne, presque décevante, jusqu’au dernier jour, à peine illuminée par quelque exemplaire de Nuñez del Cuvillo, de Mari Carmen Camacho, du Torreon et les complications d’un sobrero de Martin Arranz, dompté par le Juli. Puis arriva le dernier jour, et ce fut « La » corrida de la temporada  dans le sud-ouest français

 VICTORINO MARTIN – 20 Juillet – 5ème de feria.

      La corrida sera un ensemble qui peut se résumer d’un seul mot : Emotion. Superbement présentés, les Victorinos ont montré les dicverses facette d’une incroyable personnalité. On donna la vuelta posthume au formidable « Botador », mais on trembla d’effroi devant les terribles oleadas du troisième. On hurla de peur en voyant Pepin Liria tutoyer le danger du deuxième, jusqu’à l’accident. Les Victorino de Mont de Marsan ont ressuscité El Tato et ont permis à Padilla de se hisser, lui aussi « à hombros ». Une des grandes journées de la Temporada 2000, toute entière.